T. Wallace Wooly Jr, hypocrite et prétentieux homme d’affaires aux revenus confortables, est une determine first rate de Warburton, petite ville de l’État de manhattan. Veuf et père d’une fille certain, il a un faible pour sa blonde secrétaire. Ces sentiments, heureusement réciproques, sont sur le aspect d’être avoués lorsque M. Wooly, que les incendies fascinent, sauve d’un hôtel en flammes une étrange jeune femme nue. En quelques jours, Jennifer Broome va bouleverser sa vie pour le pire. Partagé d’emblée entre le dégoût et l’attirance, M. Wooly épouse Jennifer, au grand désespoir de sa secrétaire — et de tous ses proches. Il découvre bientôt ce dont sa femme est able : trade étrange avec les animaux, don de double vue, ensorcellements divers, incendies… C’est vers le désordre, l’anarchie… bref, l’enfer que l. a. féline Jennifer cherche à l’attirer !

À l’origine du movie de René Clair et de l. a. célèbre série Ma sorcière bien-aimée, voici pour los angeles première fois en model complète et non expurgée Ma femme est une sorcière, dans toute sa perverse et diabolique splendeur…

A PROPOS DE L’AUTEUR

Thorne Smith entra dans les forces de l. a. Marine pendant los angeles Première Guerre mondiale. C’est à cette époque qu’il débuta sa carrière littéraire comme écrivain pour une gazette de soldats. Le succès est rapidement au rendez-vous, avec son personnage maladroit répondant au nom de Biltmore Oswald. Son superior roman, Topper, confirme son expertise, et est adapté au cinéma. Thorne Smith se caractérise par sa plume satirique mais toutefois fantasque, acérée, dépeignant une critique de l. a. société.

EXTRAIT 

De derrière l. a. porte de chêne verni des toilettes pour dames des bureaux de los angeles société T. Wallace Wooly, coulait un son ténu et mélodieux qui flottait, solitaire, dans les pièces vides et ensoleillées. On eût dit un murmure sans paroles, une brise d’automne amassant les feuilles mortes, ou bien une fuite intermittente dans une conduite de vapeur. Si vous vous étiez arrêté un fast pour écouter ce son, et mieux valait que vous ne le fissiez pas, vous n’auriez sans doute identifié ni sa resource ni sa signification; si vous aviez fait une pause plus longue, cependant, vous l’auriez infailliblement identifié comme l. a. vocalisation du chagrin féminin… Nous ne savons pas, nous ne pouvons pas savoir—et c’est sans doute préférable—combien de grandes blondes sont, au second même où nous parlons, en teach de dissoudre leur beauté hautement soluble dans les larmes, de ny à Detroit, de Detroit à Albuquerque, et au-delà, recueillant le produit de ce chagrin dans un petit mouchoir, une épaule contre le mur des toilettes pour dames, et tout cela au nom de l’amour ou de son absence. Le cas de Mlle Betty Jackson est en lui-même assez triste pour nous occuper.
Au dehors, los angeles lumière du soleil et l. a. verdure emplissaient les rues pimpantes de Warburton; un samedi après-midi typique, plein d’une plaisante promesse, inévitablement suivi d’un dimanche, sursis supplémentaire pour toutes les petites gens qui se hâtaient de rentrer chez eux ou d’aller jouer au golfing, ou de toute autre selected; des lendemains d’ivresse planaient dans le brumeux lointain, et même l. a. clameur des klaxons des cars parvenaient dans les bureaux par les fenêtres ouvertes avec comme une expression de quête et de désir. Mais Mlle Jackson continuait de pleurer. Toute l. a. matinée, depuis que M. Wooly l’avait rabrouée, elle s’était promis ce second, ce rendez-vous avec son chagrin. Elle l’avait tenu. Elle pleurait sans un mot, le dos au mur…